Bibliothèque originale et pluridisciplinaire. Avec une partie importante consacré à l’agriculture, au jardin et l’arboriculture. De la permaculture à la biodynamie en passant par des traités d’agricultures du 19ème siècle. Autre pôle important, l’utilisation médicinale des plantes, de guide de fabrication de baumes à l’homéopathie en passant par la médecine chinoise et ayurvédique. Éco-construction, bricolage, vannerie, poterie sont aussi au rendez-vous de quoi s’instruire pour la fabrication d’un panier, jusqu’à une maison en passant par l’aménagement d’une marre. Vous trouverez également dans cette bibliothèque des documents locaux : livres, revues associatives, journaux et des archives culturelles des 10 dernières années (tracts). Autres thèmes : spiritualité (Philosophie , Zen, anthroposophie…), Éducation, maternité, politique, société, botanique, astronomie. Des livres pour les enfants de tous âges avec de nombreux livres sur la nature.
De nombreux livres, revues et film (DVD et VHS).
De nombreux documents sont disponibles dans la bibliothèque. Ce catalogue en répertorie une petite partie (1/6 ?), la navigation par catégorie ne concerne qu'une partie des livres mais donne une idée du fond réel (l'indexation est en cours) par contre la navigation par étagère et les recherches concernent tous les documents enregistrés.
Les documents présents dans la bibliothèque proviennent d’achat par l’association, de dons et de prêt de nos adhérents.
Les documents peuvent être empruntés par tous les adhérants de l'association Vivre en Comminges à jour de cotisation. Adhérer à l'association. Les documents empruntés sont à inscrire dans le cahier d’emprunt,. Chaque adhérent.e peut emprunter 3 documents (livre, revue, CD, DVD, VHS) pour une durée d'un mois.
A partir de cette page vous pouvez :
Retourner au premier écran avec les catégories... | Votre compte |
Catégories
Ajouter le résultat dans votre panier Faire une suggestion Affiner la recherche
Etendre la recherche sur niveau(x) vers le haut et vers le bas
[n° ou bulletin]
Titre : 36 - Hiver 2014 - La fonction de l’orgasme L’écologie globale Type de document : texte imprimé Année de publication : 2023 Note générale : La fonction de l’orgasme : encore aujourd’hui, ce titre osé choque, met mal à l’aise. Il correspond chez l’humain « au rythme biologique le plus profond » selon W. Reich. Il amène à des états de conscience modifiée, il parfume l’esprit, disent les taoïstes, il peut rapidement mener à l’éveil, dit Osho.
permettrait d’appréhender l’univers dans sa globalité.
L’écologie globale, ou Deep Ecology nous propose une rencontre avec l’Être Terre dans sa globalité, en lien avec l’humain et sa complexité, ses paradoxes et ses idéaux, ses mémoires ancestrales et un quotidien souvent désarmant.
Revue illustrée par Katarzyna BRUNIEWSKA-GIERCZAKLangues : Français (fre) Catégories : Société:Ecologie sociale ; Société:Féminisme Tags : femme orgasme Note de contenu : 03 édito / Karine Nivon
04 Sommaire
05 Ours / Cercles de Femmes
06 CARPE DIEM
07 L’air du temps / Frédérique Larcher
08 Astrologie mondiale / Michèle Raulin
10 énergie de saison / Sarah-Maria Samaya
12 corps accord
13 Réapproprions-nous le Savoir / Paola Broggi
14 Succulente ! / Saïda Désilets
15 Essences Féminines / Jutta Lenze
16 Matern’Elles / Carine Maia Phung
17 Balade Féminine / Hélène Cociovitch
18 La Révolution des Yoni / Sarita
20 Naturo Gynéco / Karen Morand
22 parfumer l’esprit
23 Courrier… CourriElle / Marion Delforge
24 Le coeur se livre / Julie Cabot Nadal
25 Célébrons la Femme debout / Christine Marsan
26 Le Rêve d’une femme / Jane Catherine Severn
27 dossier : LA FONCTION DE L’ORGASME
28 Une énergie illimitée / Benj. Rousseau Drouet
30 Fonctions de l’orgasme, mais qu’est-ce que l’orgasme ? /
Marie-Noëlle Lanuit et Jean-Claude Piquard
32 Des petites morts au grand saut / Katia ou Middaywoman
34 Orgasme, joie et plaisir vivant / Pierre-André Blanc
36 A la poursuite de l’orgasme / Almudena Ruiz Rey
37 Un air de métamorphose / Hélène Cociovitch
38 partage : L’ECOLOGIE GLOBALE
39 Une écologie globale… de l’être humain / Pierre-André Blanc
40 L’écopsychologie / Marie Romanens et Patrick Guérin
42 Ecoféminisme : vers un Intellect féminin radical / Mohammed Taleb
44 L’état du monde nous interroge / Geneviève Lebouteux
46 pour l’amour de l’art
47 Rubrikadabra : Yoga Bag / Karen Cayuela
49 gardiennes de la terre
50 Femmes de boue : Construire un mur tout en légèreté /
Nydia Solis Tzaquital
53 Faites-le vous-mêmes : Les produits d’entretien / Serena Deligny
54 nourritures terrestres
55 La diététique chinoise / Evelyne Aguilera-Aymard
56 Cuisine ayurvédique / Vibusha
58 Reportage : Festival du Féminin / Delphine Lhuillier
59 L’Agenda des Femmes
60 Bulletin de commande
62 Les possibles à partager
67 Petites annonces
68 Portrait d’artiste / Katarzyna Bruniewska-GierczakEn ligne : https://revedefemmes.fr/publications/revue-36/ Format de la ressource électronique : Page web Permalink : https://www.vivreencomminges.org/bibli/index.php?lvl=bulletin_display&id=230 [n° ou bulletin]Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité vec1289 REV Livre Saint-André A classer Disponible Avis des lecteurs Aucun avis, ajoutez le vôtre !
(mauvais) 1 5 (excellent)
L'écologie sociale / Murray Bookchin
Titre : L'écologie sociale : penser la liberté au-delà de l'humain Type de document : texte imprimé Auteurs : Murray Bookchin (1921-2006), Auteur ; Marin Schaffner, Traducteur ; Marin Schaffner, Postfacier, auteur du colophon, etc. Editeur : Marseille : Editions Wildproject Importance : 1 vol. (324 p.) Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-918490-95-1 Prix : 22 EUR Note générale : Textes extraits de trois ouvrages de l'auteur : The ecology of freedom ; Remaking society et Philosophy of social ecology Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) Catégories : ECOLOGIE ; Société ; Société:Ecologie ; Société:Ecologie sociale ; Société:Féminisme ; Société:Politique - Démocratie - Juridique Tags : Écologie humaine Anarchisme Index. décimale : 304.201 Résumé : Aucun des problèmes écologiques ne pourra être véritablement résolu sans un profond changement social ? telle est la conviction qui traverse l'oeuvre de Murray Bookchin. Aux origines du « municipalisme libertaire » pour lequel il est principalement reconnu, Bookchin a mené une réflexion théorique fondamentale sur l'écologie. Ce recueil explore de façon critique les relations entre sociétés humaines et milieux naturels. Ce projet passe notamment par une archéologie de la domination, l'élaboration d'une philosophie de la nature, l'exploration des conditions et des formes de la liberté, des réflexions sur une technologie au service de la vie, et une décolonisation des imaginaires. Permalink : https://www.vivreencomminges.org/bibli/index.php?lvl=notice_display&id=1252 Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité vec1232 304.201 BOO Livre Saint-André Société Disponible Avis des lecteurs Aucun avis, ajoutez le vôtre !
(mauvais) 1 5 (excellent)
[n° ou bulletin]
Titre : Hors-série n°13 - été 2022 - Comment nous pourrions vivre Type de document : texte imprimé Importance : 1 ressource dématérialisée Note générale : Avec Corinne Morel Darleux en rédactrice en chef invitée : 180 pages politiques et poétiques pour retrouver les chemins de l’utopie. Mener la lutte, défendre le vivant, rouvrir l'horizon, explorer les alternatives... D’impératif politique, le slogan « un autre monde est possible » devient impératif vital. Dans ce nouveau hors-série, Socialter revient sur les -nombreuses- pistes qui permettent d'imaginer une société radicalement différente. Langues : Français (fre) Catégories : Société ; Société:Ecologie sociale ; Société:Organisation ; Société:Politique - Démocratie - Juridique Index. décimale : 338.927 05 Résumé : Socialter se penche sur les idées nouvelles qui peinent à émerger dans le débat public. Loin des solutions toutes faites et des approches dogmatiques, avec une ligne qui questionne plus qu'elle n'impose, Socialter entend repolitiser le débat avec une question en tête : comment faire évoluer la société vers plus de justice, plus de démocratie, dans le respect des équilibres écologiques ? (fre) Note de contenu : Sabotage passionnel : Édito
Édito par Philippe Vion-Dury, rédacteur en chef de Socialter
Corinne Morel Darleux : Sortir de l'amer
Éditorial par Corinne Morel Darleux, rédactrice en chef invitée.
Utopistes !
Imaginer l’utopie est une chose, tenter de la fonder et d’y vivre en est une autre. Depuis deux siècles, les tentatives de créer des communautés en marge d’une société capitaliste, industrielle, individualiste n’ont pas manqué. Reposant sur des principes égalitaires ou libertaires, elles sont souvent l’illustration de la tension qui sépare les idéaux de leur mise en application. Retour en quelques exemples sur ces expériences sociales ayant marqué l’histoire des utopies, qu’elles aient échoué au bout de quelques années ou perduré pendant des décennies.
Comment vivre autrement ?
Transformer le monde ou transformer son monde sans prendre le pouvoir: telle est l’ambition des socialismes qui, en marge d’un socialisme d’État, n’ont cessé de creuser leur sillon dans l’histoire pour donner lieu à des expériences d’émancipation qui furent parfois des réussites, parfois des échecs, mais toujours des ouvertures du champ des possibles. Leur commune visée critique de l’État et du capitalisme emprunte néanmoins plusieurs chemins, que le spécialiste de l’anarchisme Édouard Jourdain, auteur notamment de Proudhon contemporain (CNRS éditions, 2018), synthétise ici en trois stratégies politiques: l’utopique, la révolutionnaire et la gradualiste.
À l'assaut de la cité idéale
L’utopisme a mauvaise presse: rêveur, irréaliste, et même dangereux... À l’image de ces cités idéales de la littérature d’imaginaire, ou de ces sociétés totalitaires bâties sur des visions schématiques de l’humanité. Tout n’est pourtant pas à saborder dans la tradition utopique qui a aussi nourri l’élan libertaire des deux derniers siècles.
MATIÈRES
Geneviève Pruvost : « Vivre est un métier »
Vous doutiez encore que tout est politique? Alors lisez Geneviève Pruvost. Dans Quotidien Politique. Féminisme, écologie, subsistance (La Découverte, 2021), fruit de dix années d’enquêtes de terrain auprès d’alternatives écologiques concrètes (ZAD, communautés autogérées, chantiers participatifs, etc.) et d’un travail colossal de mise en correspondance théorique, la sociologue s’attache à pointer tous les angles morts dans les «coulisses de la fabrique de [notre] quotidienneté en régime industrialo-capitaliste». L’objectif: renouer avec la matérialité du monde et une plus juste répartition dans ce «travail de subsistance».
Paysans, le refus de rester impuissants
Depuis une décennie, l’Atelier paysan essaime auprès du monde agricole sa critique du machinisme et de l’inégalité d’accès à l’alimentation de qualité. Par des ateliers de formation pour concevoir un équipement agricole low-tech et des sessions visant à politiser et imaginer des actions communes, la coopérative met en œuvre son leitmotiv: sortir de l’impuissance.
Au Rojava, en lutte contre le patriarcat
Depuis 2012, alors qu’à quelques dizaines de kilomètres la guerre en Syrie fait rage et l’obscurantisme de Daesh étend son emprise, la région rebelle du Kurdistan occidental fait sa révolution. Le confédéralisme démocratique aux accents libertaires qu’elle adopte confère à chaque communauté une autonomie politique et renoue avec la culture matriarcale ancrée dans la tradition kurde. Reportage auprès de ces femmes qui, au sein de conseils, d’organisations et de comités d’autodéfense, combattent pied à pied le système patriarcal.
Longo Maï, pourvu que ça dure
Principale coopérative établie en 1973 aux abords de Limans, un petit village des Alpes-de-Haute-Provence, Longo Maï est l’une des seules tentatives de vie collective de cette ampleur à avoir perduré. En provençal, Longo Maï signifie «pourvu que ça dure». Outre cet intitulé prophétique, comment expliquer leur exceptionnelle longévité? Un savant mélange de pratique et de théorie, une bonne dose d’internationalisme, une horizontalité à toute épreuve... et une pincée d’utopie.
Bertrand Louard : saper la méga-machine
Bertrand Louart, menuisier-ébéniste à la coopérative de Longo Maï, vient de publier Réappropriation. Jalons pour sortir de l’impasse industrielle, aux éditions La Lenteur. Contre notre ultra-dépendance à la «méga-machine», il prône la réappropriation texte Isma Le Dantec photo Yohanne Lamoulère des arts et des métiers.
L'archipel des utopies concrètes
Une carte exclusive en 6 parties : nourrir la terre et les vivants, laisser de la place au vivant, mettre en commun, habiter autrement, se faire entendre, renforcer l'autonomie
Corinne Morel Darleux : « après le feu »
Nouvelle exclusive de Corinne Morel Darleux.
HORIZONS
Aurélien Berlan : « Nous sommes totalement à la merci des grandes industries qui nous nourissent »
Tout le monde se réclame de la liberté, mais bien peu arriveraient à la définir précisément. La liberté, n’est-ce pas faire ce qu’on veut dans l’enceinte de sa vie privée? N’est-ce pas jouir sans entrave de ses droits, de ses biens et de ce que la société a à nous offrir? N’est-ce pas être délivré par les autres et par les machines de tout ce qui est fastidieux et gris dans l’existence? Oui, du moins selon sa conception moderne. Or, dans Terre et Liberté, Aurélien Berlan met en lumière à quel point cette conception-là de la liberté est mutilée et mutilante. Plutôt que de chercher la délivrance vis-à-vis du monde matériel, ce philosophe et agriculteur nous enjoint plutôt à retrouver notre autonomie politique et matérielle, à voir que ce qui nous fait vivre nous rend également libres.
Les vertus de la petite taille
Villes, cantons, micro-États: et si les structures politiques de petite taille étaient les seules capables de nous rendre heureux? L’idée est défendue par un courant de pensée qui, face aux fantasmes de puissance des grands États modernes, envisage le salut dans une formule simple: «small is beautiful».*
L'écologie et l'Australie, à la vie, à la mort
Au-delà de la lutte contre les ravages planétaires du système capitaliste, l’un des grands défis du combat écologique moderne est de réinscrire l’humain dans les cycles du vivant, à commencer par repenser un récit pour la vie et la mort. Et si, pour en écrire les premières lignes, l’on se tournait vers l’Australie et les réflexions de Val Plumwood et Deborah Bird Rose, forgées au contact des Aborigènes, qui rencontrent un succès tardif en France?
Virginie Maris : « Il est urgent que l'humain cesse de se sentir partout chez lui »
Mieux habiter le monde réclame de nous interroger quant à l’espace où nous nous déployons. Et donc d’assumer ce qui semble désormais un tabou: l’humain ne peut être chez lui partout. À l’heure de l’effondrement de la biodiversité, la philosophe Virginie Maris appelle, en écho à son ouvrage La Part sauvage du monde (Seuil, 2018), à lutter pour laisser une respiration vitale à ce monde dont l’existence dépendra davantage de notre absence que de notre présence.
En finir avec la division du travail
On aurait tort de voir dans la parcellisation et la standardisation des tâches une marche irrépressible vers le progrès, un déterminisme auquel rien ni personne ne peut ni ne doit faire obstacle. Imaginons au contraire un plan en trois étapes pour les court-circuiter et, à terme, mettre sur pied une autre organisation du travail compatible avec une vie digne, autonome et épanouie.
Ensauvagement démocratique : mode d'emploi
Pour sortir de la crise de la représentation, peut-être faudrait-il commencer par sortir de la représentation elle-même. Pour approfondir la démocratie, le politiste Laurent Jeanpierre nous rappelle ici que non seulement des pistes ont été clairement dessinées il y a près d’un siècle et demi par les penseurs libertaires et anarchistes, mais aussi que les événements récents, comme l’irruption des Gilets jaunes sur les ronds-points ou la tentative de Convention citoyenne pour le climat, permettent de se représenter plus clairement ce que pourrait être la vie politique des citoyens et des institutions réellement démocratiques.
Vivre aux rythmes de la nature
Imaginons: dans un avenir proche, notre société fait le choix de la sobriété énergétique. Finie l’énergie disponible en permanence au bout du doigt grâce au nucléaire, au charbon ou au pétrole. Il faudra apprendre à faire avec de l’énergie intermittente: abondante lorsque les éoliennes peuvent brasser du vent, les panneaux photovoltaïques capter les rayons du soleil ou les centrales hydrauliques profiter du débit de la rivière; rare en d’autres occasions. Ce scénario impliquerait un changement de mode de vie majeur: nous redécouvririons, comme avant l’ère industrielle, des périodes d’activité intense alternant avec des moments de désœuvrement. Comment cela affecterait-il notre manière de travailler, de consommer de l’énergie, mais aussi notre rapport à l’ennui, aux sons environnants et aux rêves? Nous avons demandé à des spécialistes de ces questions de se livrer à un petit exercice d’imagination pour nous.
Sylvie Tanette : « Nous sommes là »
Nouvelle exclusive de l'écrivaine Sylvie Tanette
MANIÈRES
François Noudelmann : Agir dans son lieu, penser avec le monde
Les penseurs ne formulent pas seulement des concepts, ils aident aussi à vivre. La trajectoire du philosophe et romancier François Noudelmann a elle-même été bouleversée par plusieurs découvertes intellectuelles et humaines: Édouard Glissant, Jean-Paul Sartre, André Gorz... Cheminant librement dans ses souvenirs, le professeur à la New York University nous raconte comment ses rencontres philosophiques et amicales ont nourri son rapport au monde.
Commencer à vivre humainement
La force vient parfois à manquer. La littérature politique et fictionnelle regorge d’images mentales qui viennent à notre secours et nous aident à vivre humainement. Des lucioles surgissant du fond de la nuit à la lune qui se dévoile et l’éclaire, de la chambre où l’on est chez soi à l’archipel où l’on est par les autres, du lierre rusé qui grimpe à l’été qui écrase jusqu’à l’hiver en nous... Petite galerie subjective en neuf images.
Jean Hegland : « sagesse ancienne, nouveaux chemins »
En août 2020, l’incendie de Walbridge se déclare en Californie, ravageant plus de 55 000 hectares sur son passage avant de fusionner avec un autre incendie. Dans sa furie, il emporte les bois qui ont servi d’inspiration au livre Dans la forêt, best-seller international de Jean Hegland. La romancière nous raconte son désarroi devant les ruines de ce qui fut sa terre, sa maison et sa famille, mais partage aussi les méditations qui naissent devant la force irrépressible de la forêt, qui repousse envers et contre tout.
Le romantisme révolutionnaire est toujours vivant
Généralement associé aux forces conservatrices et réactionnaires, le romantisme, qui s’ancre dans le souvenir et la valorisation de certains rapports précapitalistes, peut-il être une force révolutionnaire? C’est ce qu’avance le philosophe Michael Löwy, qui remonte le fil du romantisme révolutionnaire depuis les socialismes utopiques jusqu’à nous. Une forme de sensibilité qui irrigue le projet de civilisation écosocialiste et anticapitaliste.
Refuser de parvenir
Né dans les milieux anarchistes de la Belle Époque, formulé par l’instituteur syndicaliste révolutionnaire Albert Thierry, réinventé par les étudiants rebelles de Mai 68, le «refus de parvenir» bouscule les formes imposées de la réussite sociale. Alors que l’idéologie méritocratique et l’horizon de l’opulence sont en crise, cette éthique de vie semble trouver aujourd’hui un nouvel écho dans la mouvance écologiste.*
En grève contre la mort
Face à un monde qui s’enlaidit de jour en jour et transforme chaque pan de nos existences en marchandise, l’écrivaine Adeline Baldacchino réaffirme le droit pour toutes et tous à la beauté. Rien de mièvre là-dedans, comme en témoignent les jalons posés par William Morris et Raoul Vaneigem qui, chacun à sa manière et à un siècle d’intervalle, ont dessiné à travers cette revendication un véritable horizon politique du bonheur.
Une vie passionnante ou rien
Face aux ravages de la Raison instrumentale, à l’enlaidissement du monde qu’elle entraîne, à l’altération massive de notre vie sensorielle et affective, le poète et penseur Joël Gayraud en appelle à refonder l’utopisme sur les passions heureuses, celles qui élargissent les êtres. Des souvenirs de l’échec de Mai 68 remontent ces mots oubliés: désir, rire, révolte – et un mot d’ordre: «Lâchez tout, partez sur les routes!»En ligne : https://www.socialter.fr/produit/comment-nous-pourrions-vivre-hors-serie-13 Format de la ressource électronique : Page web Permalink : https://www.vivreencomminges.org/bibli/index.php?lvl=bulletin_display&id=234 [n° ou bulletin]Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité vec1301 SOC Livre Saint-André Société Disponible Avis des lecteurs Aucun avis, ajoutez le vôtre !
(mauvais) 1 5 (excellent)